16h42 / L’an vert / Une jolie plante dans une peau de crayon

Pour la fin de vie de vos crayons à papi­er, une astuce existe. Quand il ne vous reste plus qu’un petit bout insuff­isant pour écrire, il peut se trans­former en plante. C’est l’en­tre­prise Sprout (germe en anglais), fondée en 2012 par trois étu­di­ants du Mass­a­chu­setts Insti­tute of Tech­nol­o­gy (MIT), qui a eu l’idée d’in­té­gr­er cinq graines sans pes­ti­cides dans le corps du cray­on. Dans un peu de ter­reau, pointe vers le haut, arrosé avec amour et exposé régulière­ment au soleil, votre Sprout devien­dra l’une des 11 var­iétés de plantes proposées.

Pour le moment, seules trois bou­tiques pro­posent ces crayons éco­los en France : à Mouy (Oise), Saint-Eti­enne (Loire) et Mon­treuil (Seine-Saint-Denis).

15h52 / Lit­tle Broth­er / Sauvé par la géolo­cal­i­sa­tion bancaire

Il arrive par­fois que votre banque vous informe d’autre chose qu’un décou­vert ban­caire. C’est la sur­prise dont a fait l’ex­péri­ence un Saou­di­en vic­time de pick­pock­ets.  Lun­di 14 mars, alors qu’il dîne au restau­rant Ladurée sur les Champs-Elysées, il se fait vol­er son porte­feuille. Mais pas de panique. Par chance, il dis­pose d’une appli­ca­tion qui lui indique en temps réel la local­i­sa­tion des achats effec­tués avec sa carte bancaire.

Les voleurs ne sont vrai­ment pas loin, ils vien­nent de ter­min­er leurs emplettes dans le Sephora…sur le trot­toir d’en face. Avec la com­plic­ité des employés du mag­a­sin, les mal­frats sont rapi­de­ment iden­ti­fiés puis inter­pelés. Moral­ité, pour retrou­ver ses moyens de paiement, la banque reste la meilleure solution.

14h40 / L’an vert / Pluie de graines sur Paris

Pour encour­ager les habi­tants à cul­tiv­er des plantes, la mairie de Paris dis­tribue cet après-midi pas moins de 30 000 sachets de graines à la Mai­son du jar­di­nage au parc de Bercy (12e). Vous pou­vez aus­si assis­ter à des ani­ma­tions, ate­liers ou ren­con­tr­er Péné­lope Komitès, adjointe à la Mairie de Paris chargée des espaces verts. Pour les retar­dataires, une ses­sion de rat­tra­page sera organ­isée demain à 17h dans chaque mairie d’arrondissement.

14h19/ Hap­py Hour/ Le Tum­blr Gifs de France rend hom­mage à la cul­ture hexagonale

Louis de Funès, Zizou ou Jean Rochefort en boucle. Lancé il y a quelques mois, le Tum­blr Gifs de France rend un hom­mage appuyé à la cul­ture française en pro­posant des gifs de moments cultes du ciné­ma, de la chan­son  ou du sport français. L’oc­ca­sion de partager à ses amis le mythique “mus­cle ton jeu Robert !”  d’Aimé Jacquet ou de se bidon­ner une énième fois sur “y’en a qui ont essayé…” de Régis Laspalès.

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13h03/ Hap­py Hour / Les écrivains plus pau­vres mal­gré les bons résul­tats du livre

De nom­breux livres mais peu d’écrivains qui vivent de leur plume. Alors que s’ou­vre le Salon du livre à Paris, Medi­a­part pub­lie ce 16 mars les pre­miers chiffres sur l’évo­lu­tion des revenus de cette pro­fes­sion. Le bilan n’est pas glo­rieux. Les édi­teurs sor­tent beau­coup d’ouvrages (+ 114 % de titres pub­liés en 20 ans) mais les auteurs, de plus en plus pré­caires, asso­cient sou­vent une deux­ième activ­ité pour combler le manque à gag­n­er dans l’écriture.

Ces chiffres sont issus d’une grande enquête que ren­dra bien­tôt publique l’IRCEC, la caisse de retraite com­plé­men­taire des artistes-auteurs. Elle se focalise sur près de 120 000 coti­sants entre 1995 et 2013. On note une baisse con­tin­ue des revenus sur cette péri­ode mais ce n’est pas tout. L’IRCEC ne rassem­ble qu’une faible part des écrivains (6,4% des affil­iés à l’Agessa, la sécu­rité sociale des auteurs). L’Agessa estime de son côté que la grande majorité des écrivains tire des revenus très faibles de cette activ­ité : moins de 4 000 euros de droits d’au­teur par an pour 87,2% d’entre eux.

Sur la péri­ode 1995–2013, cette éro­sion des revenus s’applique égale­ment à toutes les autres pro­fes­sions artistiques.

12h49/ Plus belle la mort/ #SurMaPier­re­Tombale, le top 5

Le hash­tag #SurMaPier­re­Tombale a fait sur­face sur Twit­ter ce matin. En exclu­siv­ité devant vos yeux ébahis, un petit top 5 de ces tweets à mourir de rire.

5. Le pince-sans-rire

4. Le don­neur de leçon

3. Le poétique

2. Le rageur

  1. L’a­vant-gardiste… signé Pam­pa Mag 🙂

12h26 / Périphériques / En Isère, ces par­ents cherchent des élèves… sur Le Bon Coin

Par­ents cherchent dés­espéré­ment cama­rades pour enfants mignons. Cela aurait pu être l’ob­jet de l’an­nonce inso­lite pub­liée le 7 mars sur le site Le Bon Coin par des par­ents d’élèves de Saint-Michel-de-Saint-Geoirs ain­si que le rap­porte France Bleu Isère.

Recher­chons enfants pour venir com­pléter les rangs de nos class­es d’é­cole”, ont en réal­ité écrit ces par­ents d’élèves inqui­ets. La classe men­acée com­prend des élèves de grande sec­tion de mater­nelle et de CP. “En prévi­sion­nel, on est sur 80 élèves à la ren­trée, il en faudrait 84 ou 85″, a déclaré à France Bleu Isère Céline Da Sil­va, par­ent d’élève à l’o­rig­ine de l’an­nonce. “Tout le monde con­naît Le Bon Coin, tout le monde peut partager l’an­nonce sur Face­book, le but c’est que ce soit partagé par le plus grand nom­bre”, a expliqué cette mère de famille opiniâtre.

L’an­nonce loue un “cadre cham­pêtre et tran­quille”, une “can­tine 3 étoiles”, un “accueil périsco­laire de 7h15 à 18 heures”. “Ne lais­sez pas pass­er votre chance !” con­clu­ent ces par­ents d’élèves pour le moins ingénieux. Vous avez jusqu’à juin pour postuler.

11h27 / Près des yeux, loin du cul / Caram­bar lance ses blagues spé­ciales adultes

« Je suis rose, de taille moyenne et j’in­téresse les jeunes filles de 18 ans. Qui suis-je ? » Vous l’avez ? Le per­mis de con­duire bien sûr ! Depuis le 14 mars, voici le genre de blagues grav­eleuses plus ou moins drôles qu’il est pos­si­ble de trou­ver dans les embal­lages des Caram­bar. La mar­que des célèbres caramels mous a lancé une opéra­tion lim­itée moins de 18 ans en vue du 1er avril, le grand ren­dez-vous des farceurs.

https://twitter.com/creapills/status/709476694596435968

Les paque­ts à blagues pour adultes sont recon­naiss­ables à leur couleur noire, tout comme l’emballage des bon­bons. En tout, 14 mil­lions de farces seront lancées cette année. Pour ne pas en per­dre une miette, le compte Twit­ter de la mar­que postera tous les jours une blague grivoise après 19h.